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On a testé Crusader Kings III

Ne passez pas à côté de ce jeu stratégique mettant à l’honneur alliances, diplomatie et… fourberies

Envie de revivre la première croisade ? Les invasions Vikings ? La conquête de l'Angleterre par Guillaume le conquérant ? Alors ce jeu est fait pour vous.

Crusader kings III est un jeu de stratégie se déroulant à 2 époques de l’histoire, au choix : soit durant la période des invasions Viking en 867 après JC, soit juste avant la première croisade en 1066.

Qui suis-je pour vous dire de faire un tutoriel ? Eh bien moi c’est Vincent, chargé de projets marketing chez Shadow. Et si j’ai aujourd’hui décidé de prendre les commandes du blog, c’est pour vous parler de cette petite pépite !

Les débuts dans le jeu. Familles, duchés, casus belli et guerres. 

En bon débutant du jeu, j’ai dû faire le tutoriel et ainsi découvrir un système de jeu incroyablement complet. Le jeu est basé sur les alliances, la famille et la création de casus belli (je vous expliquerai de quoi il s’agit plus tard) pour envahir son voisin et en faire son vassal. 

Information essentielle pour comprendre ce qui suit : une “famille” représente un peuple et un territoire. De mon côté, j’ai choisi une famille en Irlande, celle du “petit roi Murchad” de la famille “BRIAN”. Est-ce le climat exotic (hum) de l’Irlande qui m’a séduit ? Ou ses paysages merveilleux ? Pour tout vous dire, la raison pour laquelle j’ai choisi cette famille est simple : les frontières naturelles sont la mer et l’océan, ce qui la rend plus facile à jouer. 

Voulant sécuriser mes frontières au sud de mon territoire, j’ai donc commencé à me préparer à partir en guerre contre mon voisin du sud Desmond. Pour lancer une guerre contre un autre souverain, il faut absolument avoir un prétexte, ce qu’on appelle un “casus belli”. Mon casus belli ? Ce territoire faisait partie de mon duché auparavant. Ça me paraissait être une bonne excuse, mais vous pouvez probablement être plus créatifs que moi.

Je suis donc gaiement parti en guerre combattre mon opposant et récupérer mon dû. Une fois la bataille gagnée (quel talent !), j’ai assiégé la capitale et en ai ainsi fait mon vassal après avoir négocié la paix. Gengis Khan lui-même aurait été impressionné ! 

Le jeu des alliances et des familles

Ma frontière au sud étant sécurisée, j’ai pu enfin prendre le temps de réfléchir à mon expansion. Mon objectif était de former le grand royaume d’Irlande en regroupant sous une même bannière toutes les différentes familles. 

La guerre est un moyen de conquérir de nouveaux territoires, mais il y en a d’autres, comme la diplomatie et les alliances entre familles. 

Etant célibataire, j’ai donc décidé de me marier avec une famille puissante qui pourrait me soutenir en cas de futurs conquêtes. Le mariage d’amour ? Très peu pour moi. C’est pourquoi, je me suis marié avec une personne issue de la famille de Guillaume le conquérant du duché de Normandie. Cette alliance m’a permis alors d’avoir un allié de poids en France et en Angleterre. J’ai continué ensuite les alliances en mariant les membres de ma famille avec d’autres alliés de poids dans la région. En espérant qu’ils ne rêvaient pas non plus d’un mariage d’amour.

Mais cela ne me permettait toujours pas d’atteindre mon objectif : rassembler sous une même bannière les peuples irlandais. C’est pourquoi, lors d’une intrigue (un événement dans le jeu choisi par le joueur), j’ai décidé de créer un casus belli contre un de mes voisins au nord. 

Confiant, j’ai levé mon armée contre la sienne et... j’ai perdu plusieurs batailles. Mais pas la guerre ! Enfin, pas encore. Je dois vous avouer que ça sentait le roussi, du coup, j’ai fait en sorte de faire jouer le système d’alliances en ma faveur. J’ai demandé de l’aide à un de mes alliés, qui s’est empressé de lever son armée pour m’aider à gagner la guerre. GG WP, l’union fait la force, on a gagné ! Ce qui m’a permis de faire de la famille vaincue, mon vassal. 

Mais attention, un grand pouvoir implique de grands dangers ! En tant que roi, il faudra faire attention aux ambitions de ses vassaux. C’est pourquoi de mon côté, j’ai décidé de garder en captivité le souverain de mon vassal du sud pour éviter une possible rébellion. Oui, je suis plutôt sympa comme roi. 

Pour s’étendre, il faut jouer d’alliances, de diplomatie et de fourberies (mon domaine préféré). En créant des alliances maritales stratégiques, on peut prévoir une descendance qui aura des revendications sur des territoires convoités. Il est également possible de créer des guerres de successions en éliminant les membres héritiers d’une autre famille afin d’y placer la vôtre. Pour résumer, dans Crusaders Kings III, il faut jouer de diplomatie, de force et d’autorité (on est pas le roi pour rien) afin de faire grandir son royaume et ainsi prospérer. Ce jeu m’aura permis de réaliser un rêve (être roi) sans en subir les conséquences (me faire capturer, tuer, ou pire) ! Si vous aimez ce style de jeu, n’hésitez pas : foncez.